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1.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 65(05): 263-271, 2018. ilus
Artículo en Francés | AIM | ID: biblio-1266301

RESUMEN

Il s'agit d'une patiente âgée de 34 ans qui était P2 G3 A0 D1 (Le 1er enfant, en vie, était né le 02/06/2010 par césarienne, indiquée pour souffrance fœtale à terme aux Cliniques Universitaires de Lubumbashi et les suites étaient simples. Le 2ème enfant, décédé, né le 04/08/2012 par césarienne, indiquée pour souffrance fœtale sur grossesse de 7 mois avec notion d'ouverture de l'œuf depuis 1 mois dans une clinique privée de Lubumbashi) dont la date des dernières règles était le 02/06/2015 et la date probable d'accouchement le 09/03/2016. Elle était porteuse d'une grossesse gémellaire dichoriale diamniotique dont l'évolution était marquée par la rupture prématurée des membranes d'un jumeau et sa mort en intra-utérin diagnostiquée à 20 semaines de gestation. La décision prise était de laisser le fœtus mort en place et de poursuivre la gestation avec un suivi particulier tant pour la mère que pour le second jumeau qui est né prématurément à 34 semaines d'aménorrhée et 5 jours après échec de tocolyse ; le poids de naissance était 2200g, Apgar 7/8/8. L'accouchement du 2ème jumeau était précédé 4 heures auparavant par l'expulsion du 1er jumeau (fœtus mort en intra-utérin), non-macéré, momifié et pesant 130g


Asunto(s)
Informes de Casos , República Democrática del Congo , Muerte Fetal , Embarazo Gemelar
2.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 65(12): 607-620, 2018.
Artículo en Francés | AIM | ID: biblio-1266321

RESUMEN

Objectif : Déterminer le taux de Transmission Mère-Enfant du VIH (TME), le suivi post-natal ainsi que les facteurs de risque de perdus de vue sous l'option B+.Patientes et méthodes :Etude prospective des accouchées séropositives au VIH suivies du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2014 à l'HGR de la commune Kenya et du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2014 à la maternité de l'Hôpital Général de Référence (HGR) de Kampemba. Ont été étudiés : les caractéristiques socio-démographiques des accouchées,les données cliniques, obstétricales et celles propres à la PTME, la TME, le suivi post-natal et facteurs de risque. L'analyse des données a été faite à l'aide du logiciel Epi info 7.0 ; les fréquences exprimées en pourcentage, le test de Fisher utilisé et le seuil significatif fixé à p < 0,05.Résultats : L'âge des accouchées était de 21 à 43 ans (âge moyen : 31 ans). Presque toutes nos patientes étaient en union conjugale, et au moins 76% d'entre elles avaient atteint 6 ans d'études primaires. Quatre-vingt-trois pour cent des femmes n'avaient aucune activité professionnelle spécifique et 72% se confessaient dans les églises de réveil. La parité variait entre 0 et 12 avec une moyenne de 4 ± 2 ; 61 des 86 gestantes (71%) étaient des multipares (parité > 2). L'âge gestationnel moyen était de 38,8 ± 1,0 SA. La quasi-totalité des accouchements (88 : 98,88%) se sont déroulés par voie naturelle. Des 90 naissances vivantes, 47 nouveau-nés étaient de sexe masculin (52,22%). Le poids de naissance variait entre 1400 et 4200 grammes (moyenne : 3174,57 ± 596,9 grammes). Vingt-huit accouchées étaient connues séropositives avant la grossesse (33,33%), pour 52 femmes, la découverte avait été enregistrée au cours de la grossesse (61,90%) et pour 5 autres lors de l'accouchement (5,95%). Parmi les accouchées, 27 (32,14%) étaient sous TAR à vie avant la grossesse, 53 (63,09%) ont été mises sous thérapie pendant la grossesse et 4 (4,76%) ont démarré la trithérapie à vie lors de l'accouchement. Le taux de CD4 variait entre 3 et 1109/mm3 avec un taux moyen de 429,88 ± 198/mm3. Vingt-six accouchées sur 76 (34,20%) avaient un taux de CD4 < 350/mm3. Soixante-huit nouveau-nés avaient bénéficié de l'allaitement maternel exclusif (83,95%) et 97,62% d'entre eux avaient reçu la névirapine pendant 6 semaines. Considéré à 9 mois et à 12 mois, par rapport aux nourrissons dépistés pour lesquels le statut immunologique a été précisé, le taux de TME serait de 4 nourrissons pour 55 (7,27%) et 4 sur 27 (14,81%) respectivement. Le moment de mise sous TAR maternel ne semble pas avoir influé sur la dynamique de rétention ou non des couples mère-enfant durant les 12 mois de suivi post-natal. Au bout de 12 mois du suivi post-natal, seuls 40 (47,62%) des 84 couples mère-enfant attendus avaient été retrouvés mais l'analyse factorielle en rapport avec les données socio-démographiques n'avait pas identifié formellement les facteurs pouvant expliquer la faible rétention observée dans cette étude à part l'éloignement vis-à-vis du site.Conclusion : Les défis à surmonter notamment dans le suivi post-natal sont le délai d'attente trop long des résultats PCR-DNA ainsi que le nombre élevé des perdues de vue


Asunto(s)
Parto Obstétrico , República Democrática del Congo , Hallazgos Incidentales , Recién Nacido , Transmisión Vertical de Enfermedad Infecciosa/prevención & control
3.
Pan Afr. med. j ; 26(208)2017.
Artículo en Inglés | AIM | ID: biblio-1268476

RESUMEN

Introduction: l'objectif était d'analyser les facteurs de risque de mortalité maternelle et périnatale de la césarienne à Lubumbashi, République Démocratique du Congo (RDC).Méthodes: étude multicentrique de 3643 césariennes réalisées entre le 1er janvier 2009 et le 31 décembre 2013 sur un total de 34199 accouchements dans cinq formations hospitalières de référence à Lubumbashi (RDC). Les données sociodémographiques, les indications, l'environnement obstétrical et la morbi-mortalité maternelles et périnatales ont été analysés au logiciel Epi Info 2011. Les fréquences calculées sont exprimées en pourcentage et les moyennes avec leurs écart-types. Le test de Chi-carré et le test exact de Fisher lorsque recommandés ont été utilisés pour la comparaison des fréquences. L'odds ratio a été calculé avec l'intervalle de confiance de 95% de Cornfield grâce à un modèle de régression logistique pour déterminer la puissance de facteurs de risque. Le seuil de signification a été fixé à p < 0,05.Résultats: la fréquence de la césarienne était de 10,65%. L'âge moyen des césarisées était de 28,83±6,8 ans (extrêmes: 14 et 49 ans). La parité variait de 1 à 16 avec une moyenne de 2,6. De ces opérées, une sur neuf (10,9%) était porteuse d'un utérus cicatriciel de césarienne antérieure et 22,3% étaient des évacuées obstétricales. Les taux de létalité maternelle et périnatale étaient respectivement de 1,4% et 7,07% lors de la césarienne. L'analyse des facteurs de risque montre que la grande multiparité (≥5), l'absence de surveillance de la grossesse, le caractère urgent de l'indication opératoire influent significativement sur la mortalité maternelle. A ces facteurs s'ajoutent pour la mortalité périnatale l'âge maternel avancé (> 35 ans), l'évacuation comme mode d'admission et l'immaturité fœtale.Conclusion: cette étude montre que la césarienne dans nos conditions de travail est couplée à une forte mortalité maternelle et périnatale. Les facteurs de risque identifiés sont en grande partie évitables, surtout à tort ou à raison imputés à l'opération masquant ipso facto les circonstances souvent irrationnelles de sa pratique


Asunto(s)
Cesárea , República Democrática del Congo , Mortalidad Materna , Mortalidad Perinatal , Factores de Riesgo
4.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 63(2): 105-114, 2016.
Artículo en Francés | AIM | ID: biblio-1266172

RESUMEN

Objectif : Evaluer les activités de PTME depuis la sensibilisation au Dépistage Volontaire du VIH en consultation Prénatale jusqu'à la prise en charge des couples mère-enfant en période péripartum et néonatale précoce.Matériels et méthodes : Il s'agit d'une étude rétrospective de 16.253 accouchées dans 5 maternités de référence de la ville de Lubumbashi de 2007 à 2012.Les paramètres investigués : taux de sensibilisation au Dépistage Volontaire, d'adhésion au pré-test, séroprévalence VIH chez les dépistées, patientes non dépistées, prise en charge des couples mère-enfant en période péripartum et néonatale. Le test de Chi-carré était utilisé pour la comparaison des fréquences exprimées en pourcentage au seuil significatif de p < 0,05. Résultats : La majorité des accouchées (69,38%) a été sensibilisée au dépistage pendant la grossesse. De 2010 à 2012, le taux des sensibilisées est de 71,09% contre 64,37% avant 2010 (p = 0,000). Le taux d'adhésion est de 78,86% pour l'ensemble des sensibilisées : 95% entre 2007 et 2010 et 69% de 2011 à 2012, soit une décrue d'adhésion statistiquement significative (p = 0,000). La séroprévalence VIH chez les dépistées est de 4,15% pour la période étudiée, allant de 3,47% à 5,30%. L'analyse statistique ne montre pas de différence significative entre les taux périodiques sauf pour le taux de 2012 (3,58%) comparé à celui de 2007 (5,30%) (p = 0,02). La proportion des non-dépistées s'élève à 45,30%, soit 46,81% après 2009 et 40,82% antérieurement (p = 0,000). Enfin, la couverture PTME des gestantes diagnostiquées séropositives (369) atteint 51,49% (n = 190) ; leurs bébés ont bénéficié d'une thérapie antirétrovirale (TAR) en période néonatale précoce. Par rapport à l'effectif global des accouchées (16.253), au taux de 4,15% de séroprévalence, cette fraction (190) ne représente que 28,36% des séropositives potentielles (670 couples Mère-Enfant).Conclusion : Les résultats observés :Tendance au déclin dans l'adhésion au dépistage volontaire en CPN et inflation des accouchées non-dépistées malgré l'amélioration progressive des taux de sensibilisation (= faiblesse PTME) ; Taux paradoxalement bas de la couverture TAR parmi les séropositives ayant pourtant volontairement adhéré au dépistage (= faiblesse PTME),Appellent d'urgence une profonde réflexion sur les véritables raisons de ces faiblesses et la mise en place des politiques nouvelles et plus rentables de prise en charge


Asunto(s)
Centros de Asistencia al Embarazo y al Parto , República Democrática del Congo , Infecciones por VIH/prevención & control , Transmisión Vertical de Enfermedad Infecciosa , Mujeres
5.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 6512: 607-620, 2016.
Artículo en Francés | AIM | ID: biblio-1266314

RESUMEN

Objectif : Déterminer le taux de Transmission Mère-Enfant du VIH (TME), le suivi post-natal ainsi que les facteurs de risque de perdus de vue sous l'option B+.Patientes et méthodes : Etude prospective des accouchées séropositives au VIH suivies du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2014 à l'HGR de la commune Kenya et du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2014 à la maternité de l'Hôpital Général de Référence (HGR) de Kampemba. Ont été étudiés : les caractéristiques socio-démographiques des accouchées, les données cliniques, obstétricales et celles propres à la PTME, la TME, le suivi post-natal et facteurs de risque. L'analyse des données a été faite à l'aide du logiciel Epi info 7.0 ; les fréquences exprimées en pourcentage, le test de Fisher utilisé et le seuil significatif fixé à p < 0,05.Résultats : L'âge des accouchées était de 21 à 43 ans (âge moyen : 31 ans). Presque toutes nos patientes étaient en union conjugale, et au moins 76% d'entre elles avaient atteint 6 ans d'études primaires. Quatre-vingt-trois pour cent des femmes n'avaient aucune activité professionnelle spécifique et 72% se confessaient dans les églises de réveil. La parité variait entre 0 et 12 avec une moyenne de 4 ± 2 ; 61 des 86 gestantes (71%) étaient des multipares (parité > 2). L'âge gestationnel moyen était de 38,8 ± 1,0 SA. La quasi-totalité des accouchements (88 : 98,88%) se sont déroulés par voie naturelle. Des 90 naissances vivantes, 47 nouveau-nés étaient de sexe masculin (52,22%). Le poids de naissance variait entre 1400 et 4200 grammes (moyenne : 3174,57 ± 596,9 grammes). Vingt-huit accouchées étaient connues séropositives avant la grossesse (33,33%), pour 52 femmes, la découverte avait été enregistrée au cours de la grossesse (61,90%) et pour 5 autres lors de l'accouchement (5,95%). Parmi les accouchées, 27 (32,14%) étaient sous TAR à vie avant la grossesse, 53 (63,09%) ont été mises sous thérapie pendant la grossesse et 4 (4,76%) ont démarré la trithérapie à vie lors de l'accouchement. Le taux de CD4 variait entre 3 et 1109/mm3 avec un taux moyen de 429,88 ± 198/mm3. Vingt-six accouchées sur 76 (34,20%) avaient un taux de CD4 < 350/mm3. Soixante-huit nouveau-nés avaient bénéficié de l'allaitement maternel exclusif (83,95%) et 97,62% d'entre eux avaient reçu la névirapine pendant 6 semaines. Considéré à 9 mois et à 12 mois, par rapport aux nourrissons dépistés pour lesquels le statut immunologique a été précisé, le taux de TME serait de 4 nourrissons pour 55 (7,27%) et 4 sur 27 (14,81%) respectivement. Le moment de mise sous TAR maternel ne semble pas avoir influé sur la dynamique de rétention ou non des couples mère-enfant durant les 12 mois de suivi post-natal. Au bout de 12 mois du suivi post-natal, seuls 40 (47,62%) des 84 couples mère-enfant attendus avaient été retrouvés mais l'analyse factorielle en rapport avec les données socio-démographiques n'avait pas identifié formellement les facteurs pouvant expliquer la faible rétention observée dans cette étude à part l'éloignement vis-à-vis du site.Conclusion : Les défis à surmonter notamment dans le suivi post-natal sont le délai d'attente trop long des résultats PCR-DNA ainsi que le nombre élevé des perdues de vue


Asunto(s)
República Democrática del Congo , Hallazgos Incidentales , Resultado del Embarazo , Transmisión Sináptica
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